David Servan-Schreiber – Psychologies Magazine – Novembre 2007
Il y a un moment formidable lorsqu’on écrit un livre, c’est celui où il ne reste plus qu’à écrire les remerciements. C’est de loin celui que je préfère et j’y pense souvent, comme à un objectif lointain, au fil des mois d’écriture.