un dossier EMDR dans l'European journal of psycho-traumatology

un dossier EMDR dans l’European journal of psycho-traumatology

Mis à jour le 30 septembre 2022

Un dossier EMDR dans l’European journal of psycho-traumatology publié en juillet 2016 reprend 5 articles sur ce thème en anglais

  • Erasing memory traces of trauma with eye movement desensitization and reprocessing therapy de Mirjam J. Nijdam, Miranda Olff
  • Blurring emotional memories using eye movements: individual differences and speed of eye movements de Kevin van Schie, Suzanne C. van Veen, Iris M. Engelhard, Irene Klugkist, Marcel A. van den Hout
  • The effects of eye movements on emotional memories: using an objective measure of cognitive load de Suzanne C. van Veen, Iris M. Engelhard, Marcel A. van den Hout
  • The use of EMDR in positive verbal material: results from a patient study de Suzy Johanna Martina Adriana Matthijssen, Marcel van den Hout
  • Pediatric seizure-related posttraumatic stress and anxiety symptoms treated with EMDR: a case series d’Elmedina Dautovic, Carlijn de Roos, Yanda Van Rood, Agnes Dommerholt, Roos Rodenburg

Blurring emotional memories using eye movements: individual differences and speed of eye movements de Kevin van Schie, Suzanne C. van Veen, Iris M. Engelhard, Irene Klugkist, Marcel A. van den Hout étudie les effets de la vitesse des mouvements oculaires par rapport à la capacité de la mémoire de travail. Ils ont émis l’hypothèse que les participants ayant une plus petite mémoire de travail bénéficieraient de mouvements oculaires lents, alors que les participants ayant une capacité de mémoire de travail plus étendue tireraient plus d’avantages de mouvements oculaires rapides pendant la procédure EMDR. Ils ont émis l’hypothèse que la vitesse du mouvement de l’oeil doit être ajusté à la capacité de mémoire du patinet pour obtenir un effet optimal. En testant ces propositions avec des étudiants de premier cycle, ils n’ont trouvé aucune indication qu’il serait utile d’ajuster la vitesse des mouvements oculaires à la capacité de la mémoire de travail des participants. Au contraire, les mouvements oculaires rapides ont eu de meilleurs effets dans les deux groupes dans leur expérience.
Une nouvelle application de la thérapie EMDR a été testé par Dautovic et ses collègues dans Pediatric seizure-related posttraumatic stress and anxiety symptoms treated with EMDR: a case series (2016). Les auteurs ont utilisé l’EMDR avec des enfants souffrant d’anxiété ou de stress post-traumatique symptômes orientés vers un centre spécialisé pour les troubles liés à l’épilepsie. En raison de difficultés de recrutement, seuls cinq enfants ont été inclus dans cette étude. Cette étude fournit des données préliminaires montrant que les personnes atteintes d’ESPT et de troubles anxieux liés  peuvent bien répondre à EMDR.

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